TNouri koufi-lalla Malika


Biographie:

Nouri Koufi d'origine abaziz de Djelfa est un interprète algérien de musique arabo-andalouse, il est surtout connu pour être une figure de proue du hawzi et du arùbi, un répertoire musical intermédiaire entre la musique arabo-andalouse et populaire au développement très long faite de courtes pièces en arabe classique. Il s'agit du pendant tlemcenien du chaâbi.

Nouri Koufi (au centre) en concert au théâtre de verdure à Alger le 24 juillet 2008

Oudiste et chanteur confirmé, il est considéré comme un charmeur auprès de son public quand il interprète magistralement son florilège de chansons, telles que Zarni habibi el barrah, fi el maname, win n’sibek ouala touahachtek, Y a rabi y a rin el ouyoun el hadarra, n'brik ya rabbek1. Il est également professeur de musique à l'école de Tlemcen. C'est dans cette ville que s'est créé le hawzi qui est à mi-chemin entre la musique arabo-andalouse et la musique bédouine, avec des paroles en arabe.

Evolution musicale 

 

Nouri Koufi est né le 31 décembre 1954 à Tlemcen. A huit ans, il s'intègre et rejoint, sous le nom de Chouchi, les associations musicalesi les plus réputées de la ville, sous l'égide des maâlem (maîtres de l'école classique), tels que Hasseïn, Aboura et BOUALI. A des qualités vocales et une inspiration, le jeune interprète ajoute encore ses propres recherches pour la maîtrise de plusieurs instruments: oud, mandoline, violon et rebab.
Dès 1974. il réussit le concours d'admission au corps enseignant et devient instituteur. Parallèlement, il crée une chorale et un orchestre d'élèves. Son premier disque sort en 1977 et d'autres suivront. En 1983 il s'installe à Alger où il enregistre des chansons destinées aux élèves de l'éducation nationale. Il crée également sa société de disques: Nouriphone. Enfin, il devient un spécialiste du msemen, réputé dans le monde arabo-andalou.
Vice-président de l'Association des auteurs - compositeurs, interprètes et musiciens (IPPO). Nouri Koufi fait enregistrer le célèbre titre Sidi Boumediene 2 en 1981-1982 dans l'émission de télévision Rasd oua Maya animée par Leïla. Le texte de ce tube dépasse les frontières du pays.

Rachid Taha - Live (Ida)

Rachid Taha, né le 18 septembre 1958 à Sig près d'Oran, est un chanteur franco-algérien résidant en France1,2. Sa musique est inspirée par différents styles, tels que le raï, le chaâbi, la techno, le rock 'n' roll et le punk.

Biographie

Rachid Taha est le fils d'un père originaire de Béjaïa en Kabylie et d'une mère originaire de Mascara3. Il déménage pour l'Alsace à Sainte-Marie-aux-Mines, avec ses parents en 1968, puis a vécu quelque temps à Lépanges-sur-Vologne dans les Vosges4 où élève turbulent il est mis chez les sœurs par sa famille2. À cette époque, il apprend réellement à écrire l'arabe et parler l'arabe littéraire, notamment en écoutant les chansons d'Oum Kalsoum4.

Après des études de comptabilité et différents petits boulots, il s'installe à Lyon, où travaillant à l'usine Thermix, il rencontre Mohammed et Moktar Amini2 et forment en 1981 le groupe Carte de séjour, prônant l'intégration et la tolérance envers les immigrés (ils participent notamment à la Marche des beurs de Paris à Marseille2), et sortent un premier album intitulé Rhorhomanie en 1984. En 1982, il ouvre également une boîte de nuit nommée Au Refoulé dans le quartier de la Croix-Rousse à Lyon2. En 1986, Taha et Carte de séjour ont défrayé la chronique en reprenant Douce France, une chanson de Charles Trenet qui fut distribuée aux députés de l'Assemblée nationale. Le groupe se dissout en 1989 et Rachid Taha débute une carrière solo avec la sortie de son premier album Barbès en 1991.
En 1998, il sort Diwân qui compile des compositions chaâbi de Dahmane El Harrachi ( Ya rayah), de Hadj El Anka, de Akli Yahyaten, ainsi que Nass El Ghiwane et Farid El Atrache. Rachid Taha revendique fréquemment l'héritage de Cheikha Rimitti, dont il a repris de nombreux rythmes et mélodies. En 1998 toujours, il sort un album live 1, 2, 3 Soleils en compagnie de Khaled et Faudel (notamment sur les tubes Ya Rayah et Abdel Kader). En 2004 sort l'album Tékitoi, à ce jour un des plus créatifs et complexes de Rachid Taha, qui a reçu une excellente presse en France [réf. nécessaire] et aux États-Unis5. Cet album reprend le tube Rock the Casbah des The Clash dans une adaptation Rock el Casbah qui fut unanimement acclamée5 : Mick Jones ayant déclaré préférer la version de Taha4, qu'ils ont chantée ensemble plusieurs fois sur scène, notamment lors d'une session de Taratata sur France 46. Il était devenu mondialement connu grâce à la chanson ya rayah.
En 2008, Rachid Taha interprète le rôle principal de Là où je pense, court-métrage réalisé à l'occasion de la collection Écrire pour un chanteur, lancée par Canal +. Cette même année, il collabore avec Rodolphe Burger pour le titre Arabécédaire et publie son autobiographie, Rock la Casbah, aux éditions Flammarion.
Musicien algérien, Rachid Taha déclare n'avoir jamais voulu demander la nationalité française (bien que né dans le département d'Oran durant la période de l'Algérie française) en mémoire de son oncle tué par les militaires français pendant les événements de la guerre d'Algérie7, mais a tout de même fait les démarches pour l'obtenir2


"Desert Rose" is a single by Sting from his album Brand New Day (1999). The song peaked at #3 in Switzerland, #4 Italy, #15 in the UK Singles Chart and #17 in the US Billboard Hot 100.
 

The song is noted for Sting's duet performance with Algerian raï singer Cheb Mami, creating a distinct world music feel to the song. It also has a popular music video featuring Sting taking a trip through the Mojave Desert in a Jaguar S-Type and then going to a nightclub in Las Vegas, Nevada to perform the song with Cheb Mami. After shooting the video, Sting's manager Miles Copeland III approached a music licensing maven, Lloyd Simon,[citation needed] to work with Jaguar on a collaboration, and the auto company featured the video in their prominent television advertisements during the year 2000.
Also included on the single releases were club remixes by Victor Calderone. One remixed version of the song was used in an alternative edit of the video, which included more sexually explicit footage.[citation needed]
The lyrics of the song are inspired by the Frank Herbert novel, Dune, of which Sting is a fan. Sting also played the villainous Feyd Rautha in the 1984 film adaptation. Both the book and the song feature the Arabic language, as well as imagery involving moisture and desert plant life.


 Chart (2000)
Peak position

Austrian Singles Chart[1] 6
Belgian Singles Chart (Wallonia)[1] 7
Dutch MegaCharts[1] 29
French Singles Chart[1] 6
Irish Singles Chart[2] 27
Italian Singles Chart[1] 4
Swiss Singles Chart[1] 3
UK Singles Chart[3] 15
U.S. Billboard Hot 100[4] 17
U.S. Billboard Pop 100[4] 19
U.S. Billboard Hot Dance Music/Club Play[4] 5
U.S. Billboard Adult Contemporary[4] 22
U.S. Billboard Hot Adult Top 40 Tracks[4] 3




Khaled Hadj Ibrahim (Arabic: خالد حاج إبراهيم, [ˈxaːled ħaːd͡ʒ ɪbraːˈhiːm]; born 29 February 1960), better known by his mononym Khaled (Arabic: خالد), is an Algerian raï singer, musician and songwriter born in Oran. He began recording in his early teens under the name Cheb Khaled (الشاب خالد, Arabic for "Young" Khaled, with "Cheb" as a common title for male Raï singers).

Khaled is one of the most important musicians in the history of Raï music in his native Algeria and is one the world's best-known Arab singers.[2] To date, Khaled has sold over 80.5 million albums (10 diamond, platinum, and gold) worldwide, making him one of the bestselling Arabic-language singers in history.Among his most famous songs are "Aïcha", "Didi", "El Arbi", "Abdel Kader", "La Poupée qui fait non", "Wahran Wahran", "Bakhta", "C'est la vie", and "Alech Taadi".

He holds the Guinness World Record for Best-selling artist of raï music.